Après une montée on descend

Bien que cela paraisse vraiment évident, c'est plus souvent aux montées que l'on pense. Surtout lorsque l'on planifie un itinéraire, on essayer au maximum d'éviter ces montées tant redoutées. Mais pourquoi donc s'en faire autant? Petite astuce pour bien aborder une montée, typiquement un col:

Premièrement, c'est dans la tête que ça va se passer
Après plusieurs expériences de cols, j'ai réalisé que le fait d'arriver à la base de la montée en étant préparé mentalement à affronter la-dite montée, l'épreuve paraît nettement moins insurmontable. Le fait de se dire que cela va peut être long et difficile aide à se conditionner et à imaginer les efforts que nous allons devoir fournir.

Deuxièmement, ne jamais forcer
Dès que l'on veut forcer, essayer de donner des à-coups ou encore tirer sur le guidon pour "aller plus vite", c'est le dos qui va tout ramasser et là ça peut être fatal, les douleurs peuvent persister durant plusieurs semaines.

Et enfin, se faire plaisir
Là aussi, cela paraît évident, le but premier d'un voyage à vélo est de se faire plaisir non? Ou du moins je l'espère. En puis, comme dit dans le titre, après la montée il y a souvent la descente!

 

 

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